L’innovation a déjà permis des réussites importantes dans la transformation écologique, mais présente également des limites et des biais.
Pour une véritable transformation écologique, il apparaît nécessaire de promouvoir les "right techs" et de prendre en compte des critères tels que l'impact positif, l'accessibilité financière et la rapidité de mise en œuvre des solutions innovantes. Il est également important d'analyser le cycle de vie complet des solutions, de favoriser la "dissidence créatrice" et de créer des écosystèmes propices à l'innovation.
Cette revue explore des voies nouvelles pour mettre l'innovation au service de la transformation écologique.
Ce nouveau numéro a été réalisé en partenariat avec l’agence Kite Insights..
> Une revue en libre accès :
Découvrir :
- L'avant-propos de Philippe Kourilsky, Membre du Comité de prospective de l’Institut Veolia
- L'introduction de Nicolas Renard, Directeur exécutif de l'Institut Veolia
Au sommaire, une réflexion en trois parties :
L'innovation au service de la transformation écologique, de quoi parle-t-on ?
La nature de l’innovation n’est jamais qu’un des pans de la réflexion à faire évoluer pour accompagner la transformation écologique. D’où vient l’innovation, à quels résultats concourt-elle et au service de qui, sont autant de questions à poser également.
Mettre en œuvre l'innovation au service de la transformation écologique
Nombreux sont les exemples qui témoignent du potentiel de l’ingéniosité humaine face aux défis auxquels nous sommes confrontés, ainsi que des progrès accomplis dans tous les secteurs. Pour autant, les challenges restant à relever sont encore nombreux, à commencer par la manière de généraliser et diffuser rapidement ces innovations pour se hisser à la hauteur des enjeux.
Leviers d'innovation au service de la transformation écologique
Pas d’innovation sans idées nouvelles ni innovateurs. Mais pour aboutir, l’innovation dépend aussi de leviers de changements plus vastes, qui peuvent être de nature économique, juridique et sociale.
Les auteurs (dans l'ordre du sommaire de la revue) : Armand Hatchuel (MINES Paris-PSL), Franck Aggeri (MINES Paris-PSL), Jean-Paul Raillard (Fédération Envie), Olivier Gilbert (Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024), Saradindu Bhaduri (Université Jawaharlal Nehru), Mahima Sukhdev, Snehal Bhosale, Anupam Ravi et Aromi Salot (GIST Impact), Dr. Dayna Baumeister et Nicole Miller (Biomimicry 3.8), Luise Fischer, Francesca Rizzo, Adriana O’Phelan, Anthony Zacharzewski, Andrea Gabaldon Moreno et Carla Rodríguez Alonso (NetZeroCities), Anna Rosa Rylander et Signe Ryborg (Urban Rigger), Catherine Ricou (Veolia), Henri Boyé (Consultant en énergie et en eau), Ellen Martin et Amandine Joy (Circulate Capital), Arnoud De Meyer (Singapore Management University), Scott Bryan (Imagine H2O), Andrea Bina et Simon Cooper (PNUD), Andreas Schleicher (OCDE), Doreen Ankrah, Jamie Bristow, Daniel Hires et Jan Artem Henriksson (Inner Development Goals), Renée Lertzman (Conseillère en psychologie), Emmanuelle Aoustin (Seedlings), Cécile Renouard (Campus de la Transition).